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7 h 45 |
Accueil et inscription
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L'adaptation des normes et des pratiques : « confronter les idées »
Séance plénière
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8 h 30 |
Évolution du droit d'auteur et modèles émergents en Europe
Conférence et échanges avec les participants
Nicolas Binctin (Université de Poitiers)
Nicolas Binctin, agrégé des facultés de droit, est professeur à l’Université de Poitiers. Il y enseigne le droit des affaires et le droit de la propriété intellectuelle et codirige le Master 2 – Droit de la recherche et Valorisation de l’innovation. Il assure des enseignements en droit de la propriété intellectuelle pour les universités Panthéon-Assas (Paris 2) et Paris-Diderot (Paris 7). Il est professeur invité dans plusieurs universités étrangères et intervient en tant qu’expert auprès de cabinets d’avocats et auprès d’entreprises. Sa thèse intitulée Le capital intellectuel a été soutenue en 2005 et publiée chez Litec. En 2014, il publie, chez LGDJ, la troisième édition d’un manuel de droit consacré à la propriété intellectuelle – dont une nouvelle édition paraîtra à l’automne 2016 – et, en 2015, un ouvrage intitulé Stratégie d’entreprise et propriété intellectuelle.
Nicolas Binctin tient la chronique annuelle de droit de la propriété industrielle pour le JCP E (Juris-Classeur périodique, édition entreprise) et la chronique de droit de la propriété intellectuelle pour le JCP G (Juris-Classeur périodique, édition générale). Parmi ses publications récentes, on peut citer « The French Copyright Law Opens its Arms to the FOSS », dans Free and Open Source Software (FOSS) and other Alternative License Models, Springer Science+Business Media 2016, et « French Perspectives on Trademark Transactions » dans The Law and Practice of Trademark Transactions, Edward Elgar Publishing 2016.
Présentation – Évolution du droit d’auteur et modèles émergents en Europe (PPS, 186 Ko)
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Regard sur les nouvelles tendances normatives : expériences canadiennes
Conférence et échanges avec les participants
Claude Brunet (Norton Rose Fullbright)
Claude Brunet est avocat et associé principal au sein du cabinet Norton Rose Fullbright, où il est responsable de l’équipe canadienne sur le droit d’auteur et le droit du divertissement. Il pratique le droit de la propriété intellectuelle et des communications. Il possède une expertise particulière en matière de droit d’auteur, de droit relatif au secteur culturel et de l’édition (musique, édition, télévision et cinéma), de télécommunications (radiodiffusion, télédiffusion, câblodistribution et informatique) et de demandes auprès de la Commission du droit d’auteur. Claude Brunet a d’abord exercé sa profession en tant qu’avocat-conseil à la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (maintenant la SOCAN). En 1976, il a été registraire des droits d’auteur et conseiller aux affaires internationales auprès de Consommation et Corporations Canada. En 1985, il a été avocat-conseil auprès du sous-comité sur le droit d’auteur à la Chambre des communes. Il a fait partie de plusieurs délégations canadiennes auprès de l’UNESCO et de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.
Présentation – Le droit d’auteur à l’ère du numérique: nouvelles normes, nouvelles tendances (PPS, 5,74 Mo)
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Table ronde sur les enjeux économiques
Panel
Jean-Robert Bisaillon (Iconoclaste)
Jean-Robert Bisaillon est fondateur et actionnaire majoritaire d’Iconoclaste musique, une entreprise de technologie de l’information et des communications dans le domaine de la culture, plus particulièrement dans le secteur de la musique. Il est administrateur de la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SOCAN) et de l’Association des auteurs-compositeurs canadiens (SAC). Il est membre de la Mapping Taskforce CISAC-FastTrack, du consortium DDEX, de la fondation MetaBrainz et de l’agence internationale ISNI. Il milite pour l’amélioration des conditions socio-économiques des créateurs, notamment à titre de secrétaire du conseil de fondation de l’organisme de certification de la musique équitable Fair Trade Music International. En 2008, il a publié le Petit guide Internet des auteurs et compositeurs pour le compte de la Société professionnelle des auteurs et des compositeurs du Québec (SPACQ). Jean-Robert Bisaillon est titulaire d’une maîtrise en pratiques de recherche et action publique de l’INRS (Montréal) qui porte sur les enjeux concernant les métadonnées musicales. Il est le concepteur de l’écosystème logiciel de gestion des métadonnées musicales TGiT et il en coordonne actuellement le développement.
Nathalie Blais (Télé-Québec)
Nathalie Blais est avocate à la Direction générale principale et au secrétariat corporatif de Télé-Québec. Alliant sa passion pour les arts et la culture à sa formation en droit, elle a, au cours des 15 dernières années, exercé son métier au sein de diverses entreprises culturelles d’envergure en droit du divertissement et des médias. De 2006 à 2011, elle a été membre du conseil d’administration de l’Association littéraire et artistique internationale (ALAI) Canada, un organisme ayant pour mission la promotion, la diffusion et la défense du droit d’auteur. Nathalie Blais croit que l’accès à la culture est un élément essentiel au développement et à la qualité de vie, et elle porte un intérêt marqué à tous les aspects du développement durable.
David Bussières (UDA)
Après avoir obtenu une maîtrise en guitare classique auprès du réputé maestro Alvaro Pierri, David Bussières s’est joint au groupe « world » Dobacaracol, en 2002, et a enregistré les guitares sur le disque Soley, vendu à plus de 100 000 exemplaires dans le monde. Pendant ce temps, il s’est aussi consacré, avec Justine Laberge, aux premiers balbutiements du groupe Alfa Rococo. En 2005, il a participé à la tournée européenne de Dralion du Cirque du Soleil. Pendant cette tournée, il a composé avec Justine Laberge la plupart des chansons qui figurent sur le premier album d’Alfa Rococo, Lever l’Ancre. Le succès de cet album a confirmé la pertinence du groupe dans le milieu de la chanson québécoise.
Alfa Rococo a lancé trois albums (Lever l’Ancre, Chasser le malheur et Nos Cœurs ensemble) et présenté plus de 400 spectacles à travers le Québec, dans les autres provinces canadiennes et en Europe (France, Royaume-Uni, Belgique, Luxembourg). Grâce à ses prestations énergiques et convaincantes, la formation s’est inscrite à l’affiche de prestigieux festivals et a ainsi fait rayonner sa musique aussi bien localement et qu’internationalement (FrancoFolies de Montréal, Francofolies de La Rochelle, Francofolies de Spa, Festival d’été de Québec, Jeux olympiques d’hiver de Vancouver, Jeux de la Francophonie au Liban, Festival International de Cervantino au Mexique, Coup de cœur francophone de Montréal, Festival de musique émergente en Abitibi-Témiscamingue, etc.).
Le duo a figuré à plusieurs reprises au sommet des palmarès avec 16 extraits radio, dont 4 ont été en première position au palmarès BDS. Alfa Rococo a aussi récolté deux Félix : Album de l’année – populaire et Révélation de l’année, en 2008, et a fait l’objet de dix nominations à l’ADISQ en carrière. Alfa Rococo est actuellement en période d’écriture pour son quatrième album et continue de présenter le spectacle Nos Cœurs ensemble.
Guillaume Déziel (Éditeur de musique, vulgarisateur et blogueur)
Après l’obtention de son diplôme d’études collégiales en musique, Guillaume Déziel a bifurqué vers l’enregistrement studio. Depuis 1995, il a travaillé pour TVA, Radio-Canada, Eworldmusic, Audiogram, Disques RSB et Bell Mobilité. Il a été gérant, éditeur et associé du groupe électro-pop Misteur Valaire durant de nombreuses années. Guillaume Déziel travaille aujourd’hui en « placement synchro », à la croisée de l’industrie de la musique et de la publicité. À la fois éditeur de musique et vulgarisateur en matière d’œuvre en usage partagé (Creative Commons), il participe régulièrement à des comités de réflexion sur l’avenir de la culture à l’ère du numérique (CALQ, SODEC, MCC, musiQCnumeriQC, etc.). Il se prononce aussi sur les enjeux numériques en culture et en démocratie, notamment sur le site d’information Huffington Post, pour lequel il est blogueur.
J. Serge Sasseville (Québecor Média Inc.)
J. Serge Sasseville est vice-président principal aux affaires corporatives et institutionnelles de Québecor Média. À ce titre, il assume la responsabilité des secteurs des affaires corporatives, des affaires réglementaires, des affaires institutionnelles et relations gouvernementales et des relations avec l’industrie. Il siège au comité de direction de Québecor Média. J. Serge Sasseville s’est joint à Québecor en 1987. Depuis son entrée au sein de ce conglomérat, il a occupé plusieurs fonctions tant à titre d’avocat que de gestionnaire. Il a notamment été : directeur des services juridiques de Québecor et secrétaire général de Communications Québecor; vice-président aux affaires juridiques, secrétaire général et adjoint au président du groupe Archambault; fondateur et directeur général du site de commerce électronique Archambault.ca; vice-président aux affaires juridiques et secrétaire général de Vidéotron et Canoë; président du secteur Musique du groupe Archambault.
J. Serge Sasseville siège également au sein du groupe des bailleurs de fonds du Fonds des médias du Canada. Il est aussi membre du comité exécutif et vice-président du conseil d’administration de l’Association canadienne des télécommunications sans fil (ACTS); vice-président du conseil d’administration de Cable Public Affairs Channel (CPAC), la chaîne d’affaires publiques par câble; et membre du comité consultatif de l’Institut du Québec, un partenariat entre HEC Montréal et le Conference Board of Canada. Il est aussi membre des conseils d’administration du Fonds Québecor, du Conseil du patronat du Québec, du Banff World Media Festival et de la Fondation du Centre national des arts. Il est président du conseil d’administration d’Angèle Dubeau et La Pietà. Il a également siégé pendant 10 ans au conseil d’administration de Musicaction et au sein de la Commission du disque et du spectacle de variétés de la SODEC. Il a été admis au Barreau du Québec en 1981. Avant d’entrer chez Québecor, il a pratiqué le droit de 1981 à 1987 comme avocat plaidant au sein du cabinet Stein Monast de Québec.
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10 h 15 |
Pause (20 minutes)
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10 h 35 |
La juste rémunération des créateurs
Six ateliers en simultanée
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Déplacement vers la salle plénière
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La simplification des modes de gestion : obstacles et opportunités
Séance plénière
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11 h 40 |
Table ronde sur les modes de gestion
Panel
Lyette Bouchard (SOPROQ)
Lyette Bouchard est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en relations industrielles (orientation « droit du travail ») de l’Université de Montréal. De 1991 à 1995, elle a travaillé à l’Association québécoise de la production médiatique (anciennement l’APFTQ), à titre de conseillère en relations de travail. En 1995, elle s’est jointe à l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ), à titre de responsable des relations de travail et d’adjointe à la direction générale. Depuis 1997, elle y travaille à titre de directrice générale adjointe.
Depuis juin 2001, en plus de ses fonctions de directrice générale adjointe à l’ADISQ, Lyette Bouchard assume les fonctions de directrice générale de la Société de gestion collective des droits des producteurs de phonogrammes et de vidéogrammes du Québec (SOPROQ).
Elle est membre du conseil d’administration de Ré:Sonne depuis 2001. Elle en a été la présidente de 2004 à 2006, vice-présidente de 2007 à 2009 et de 2015 à maintenant. Elle est aussi membre du conseil d’administration de la Société canadienne de perception de la copie privée (SCPCP) depuis 2005. Elle en a été la vice-présidente en 2006 et 2007, et en est la présidente depuis 2011.
Geneviève Côté (SOCAN)
Geneviève Côté est chef des affaires du Québec à la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SOCAN) et gère le bureau de l’organisation à Montréal. Parmi ses objectifs principaux, on retrouve ceux de sensibiliser davantage les politiciens québécois à la cause des droits d’exécution et d’accentuer la présence de la SOCAN dans les activités, forums et rencontres de l’industrie musicale et d’autres secteurs clés. Geneviève Côté a plus de 15 ans d’expérience professionnelle dans l’industrie du divertissement musical, notamment en gérance d’artistes ainsi qu’en édition, production et promotion de la musique. Elle a travaillé à titre de gestionnaire en administration et en production au sein de plusieurs compagnies de télévision et de tournées. Elle a été membre des conseils d’administration de la SOCAN et de la Fondation SOCAN pendant cinq ans, ainsi que de ceux de l’Association des professionnels de l’édition musicale (APEM), de la Société pour la promotion de la relève musicale de l’espace francophone (SOPREF), de la Société du droit de reproduction des auteurs, compositeurs et éditeurs au Canada (SODRAQ) et du Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens. Elle est titulaire d’un diplôme en droit de l’Université d’Ottawa.
Alain Lauzon (SODRAC)
Alain Lauzon est membre de l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (CA, CPA) et spécialiste en technologies de l’information (CA TI). Directeur général de la Société du droit de reproduction des auteurs, compositeurs et éditeurs au Canada (SODRAC), depuis 2002, il dirige les activités de cette société de gestion collective en matière de droit de reproduction d’œuvres musicales et pour l’ensemble des droits d’exploitation d’œuvres artistiques. Il est membre du conseil d’administration de la Société canadienne de perception de la copie privée (SCPCP).
Alain Lauzon possède une vaste expérience dans l’entreprise privée. De 1986 à 2002, il a été vice-président exécutif et membre du conseil d’administration du groupe Promexpo, chef de file au Québec dans l’organisation d’événements publics. Il a aussi possédé son propre bureau d’expert-comptable, après avoir été vérificateur chez Coopers & Lybrand.
Annie Morin (ARTISTI)
Membre du Barreau du Québec depuis 1989, Annie Morin a d’abord exercé sa profession en pratique privée, puis au Bureau du syndic du Barreau du Québec, avant de s’orienter vers le droit du spectacle et du divertissement et de se joindre à l’Union des artistes (UDA), en 1998. Elle y a d’abord été conseillère juridique pour ensuite y occuper le poste de directrice des affaires juridiques. Depuis 2006, elle est directrice d’Artisti, une société de gestion collective pour artistes interprètes fondée par l’UDA. Elle est aussi administratrice de Ré:Sonne, une société de gestion de la musique dont elle a déjà présidé le conseil d’administration, de 2013 à 2015. Elle a aussi été présidente du conseil d’administration de la Société canadienne de perception de la copie privée (SCPCP) de 2007 à 2011. Enfin, elle siège au conseil d’administration et au comité de rédaction national des Cahiers de propriété intellectuelle, depuis 2012.
Richard Prieur (SOGANEL)
Directeur général de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) depuis juin 2010, Richard Prieur y est aussi directeur général de Québec Édition, le comité qui se penche sur les activités d’exportation, et de la Société de gestion de l’ANEL.
Richard Prieur a travaillé pendant plus de trente ans comme publiciste et communicateur auprès de divers organismes et à l’occasion d’événements publics. Il a notamment été vice-président aux communications du Grand Prix du Canada de Formule 1, de 1990 à 2005, et président de Cité Communications, une firme responsable des publications et de la production télévisuelle du Grand Prix et de divers autres événements. De 2005 à 2009, il a travaillé comme éditeur délégué aux Éditions Gesca (magazines) et aux Éditions La Presse (livres).
Diplômé en littérature de l’Université du Québec à Montréal, il a aussi été libraire, relationniste au Théâtre du Nouveau Monde et, plus récemment, vice-président aux communications et responsable de la télédiffusion des Championnats du monde de natation de la FINA – Montréal 2005.
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12 h 15 |
Pause déjeuner
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13 h 25 |
La simplification des modes de gestion
Cinq ateliers en simultanée
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1. La gestion collective et l'évolution des microrevenus: simplifier sans diluer
Stéphane Gilker (Avocat spécialisé en propriété intellectuelle)
Stéphane Gilker pratique le droit depuis trente ans dans le domaine de la propriété intellectuelle, plus particulièrement le droit d’auteur et le droit du divertissement et des technologies de l’information. Il a été membre du cabinet Fasken Martineau de 1986 à 2014. Il y a été associé principal responsable des groupes de pratique en droit des technologies de l’information et en droit du divertissement. Il a aussi créé un groupe national en droit de la propriété intellectuelle, des technologies de l’information et des nouveaux médias au sein du contentieux de BCE/Bell Canada, et l’a dirigé de 1997 à 2000. Entre 2014 et 2015, il a assumé la responsabilité de la propriété intellectuelle pour Québecor Média et la direction des affaires juridiques du Groupe TVA.
Stéphane Gilker a été membre de l’équipe des conseillers juridiques qui ont été retenus par le gouvernement canadien pour la mise en œuvre, au Canada, de la Convention de Rome (dans le cadre de la Phase II de la révision de la Loi sur le droit d’auteur). Cette convention vise la reconnaissance des droits des artistes, producteurs d’enregistrements sonores et radiodiffuseurs. Il a aussi été délégué du gouvernement fédéral à l’occasion des conférences de l’OMPI et de l’UNESCO portant sur la propriété intellectuelle et les technologies de l’information.
Auteur de nombreux articles, il a aussi contribué à plusieurs ouvrages, dont la partie consacrée aux droits d’auteurs des artistes, producteurs et radiodiffuseurs du JurisClasseur Québec – Propriété intellectuelle, publié chez LexisNexis. Il est membre du comité éditorial des Cahiers de propriété intellectuelle. Stéphane Gilker donne des conférences au Canada et à l’étranger et collabore, depuis plus de 20 ans, aux formations de diverses universités, dont l’Université de Montréal, l’Université McGill et l’Université Concordia.
Il est président sortant du Comité technique sur le droit d’auteur de l’Institut de la propriété intellectuelle du Canada. Son expertise en matière de propriété intellectuelle, de technologies de l’information et du droit du divertissement est reconnue depuis de nombreuses années par Martindale Hubble, L’Expert et Best Lawyers. Il a, notamment, été désigné « avocat de l’année » à Montréal par Best Lawyers in Canada dans le domaine du droit du divertissement, en 2012, et dans celui de la propriété intellectuelle, en 2015.
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2. La question de la territorialité
Jean-Philippe Mikus (Fasken Martineau)
Avocat associé au sein du cabinet Fasken Martineau, Jean-Philippe Mikus pratique en droit de la propriété intellectuelle, droit des technologies de l’information et droit du divertissement. Il est membre des groupes de pratique en droit de la propriété intellectuelle, droit des technologies de l’information et Asie-Pacifique de ce cabinet. Il possède une expertise de pointe en matière de droit d’auteur et une expérience particulière à l’égard des questions de droit de propriété intellectuelle et autres dossiers touchant les technologies de l’information, les réseaux sociaux, Internet, les technologies sans fil, les services en ligne et l’infonuagique (cloud computing), le logiciel, le jeu vidéo, l’industrie minière et le commerce électronique. Il est l’auteur du chapitre canadien de l’ouvrage de référence international Copyright Throughout the World publié par Thomson Reuters.
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3. Centraliser ou décentraliser?
Sophie Préfontaine (Gestionnaire et consultante)
Sophie Préfontaine est une gestionnaire et une consultante qui évolue dans le milieu des arts et de la culture depuis plus de 15 ans. Depuis 2004, elle est membre du Barreau du Québec. Après avoir occupé les fonctions d’avocate plaidante au sein du contentieux du ministère de la Justice du Québec, elle a orienté sa pratique en matière de droits d’auteur, de contrats, de relations de travail ainsi qu’en gestion et en gouvernance d’organismes et d’entreprises à vocation culturelle. Sophie Préfontaine donne des formations à des artistes et à des travailleurs culturels, tout en poursuivant des études supérieures en droit des nouvelles technologies de l’information. Elle est présidente des conseils d’administration de la Télécommunautaire Laurentides-Lanaudière et du CPE des Rires et est administratrice du Centre des auteurs dramatiques (CEAD). Elle participe également aux travaux du Comité de travail en culture de la MRC des Laurentides, sa région d’adoption.
Mention de source : Martine Doyon.
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4. La gestion collective : engagement ou désengagement
Johanne Daniel (Daniel et associés)
Johanne Daniel est diplômée en droit de l’Université de Montréal et membre du Barreau du Québec depuis janvier 1980. Après quelques années de pratique générale du droit, elle a travaillé pour le gouvernement fédéral, se consacrant pendant près de dix ans à la révision de la Loi sur le droit d’auteur, à l’élaboration de nouvelles lois sur la propriété intellectuelle et aux négociations internationales en cette matière. Son séjour dans la fonction publique s’est terminé par deux années à titre de conseillère principale en politiques législatives au sein de la Direction de la politique de la radiodiffusion, au ministère du Patrimoine canadien.
De retour à la pratique privée depuis 1994, Johanne Daniel assiste les entreprises et les individus qui travaillent dans les secteurs des technologies de l’information, de la publicité, de la culture et du divertissement. Elle les aide à structurer leurs activités commerciales de façon à éviter les litiges et à tirer pleinement avantage de la propriété intellectuelle.
Johanne Daniel a publié plusieurs articles sur les questions liées au droit d’auteur et aux nouvelles technologies, et elle a participé à de nombreuses conférences sur la propriété intellectuelle.
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5. Le rôle des agrégateurs, des moteurs de recherche et des fournisseurs d’accès
Clément Laberge (Blogueur et consultant)
Titulaire d’un baccalauréat de l’Université Laval en enseignement de la physique au secondaire, Clément Laberge s’est très tôt passionné pour tout ce qui concerne l’utilisation des technologies dans le domaine de l’éducation et de la culture. Entrepreneur de la nouvelle économie depuis le milieu des années 1990, il a cofondé Septembre Média, en 1997; a été chargé de la veille et de la stratégie chez iXmédia; a cofondé Opossum, en 2003; et a dirigé l’évolution vers le numérique du Groupe Éditis, à Paris. Il s’est ensuite joint à De Marque, en 2008, où il a été vice-président principal jusqu’en décembre 2015. Il tient son blogue personnel, Jeux de mots et d’images, et compte parmi les pionniers du Web québécois.
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14 h 25 |
Pause (20 minutes)
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L'adaptation des normes et des pratiques : « chercher des solutions »
Séance de clôture
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14 h 45 |
La juste rémunération des créateurs
Présentation des rapports d’ateliers et échanges avec les participants
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La simplification des modes de gestion
Présentation des rapports d’ateliers et échanges avec les participants
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Les défis à venir : la parole au comité de sages
Biographies des membres du comité de sages
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Mots de la fin
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