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Le ministère de la Culture et des Communications a pour mission de contribuer au rayonnement de la culture et des communications, à l’épanouissement individuel et collectif de la population ainsi qu’à l'aménagement d’un environnement propice à la création et à la vitalité des territoires. Son action vise à offrir à l’ensemble des citoyennes et des citoyens, dans chaque région du Québec, des services équitables et diversifiés dans les secteurs de la culture et des communications. En ce sens, le Ministère reconnaît les bibliothèques publiques comme des acteurs incontournables de la démocratisation de l’accès à la culture et au savoir.
À ce titre, il soutient les centres régionaux de services aux bibliothèques publiques, aussi appelés Réseaux BIBLIO régionaux, par l’entremise du programme Aide au fonctionnement pour les centres régionaux de services aux bibliothèques publiques, afin de favoriser l’établissement, le maintien ainsi que le développement des bibliothèques publiques dans les municipalités moins populeuses du Québec.
En vertu de l’article 18 de la Loi sur le ministère de la Culture et des Communications (RLRQ, chapitre M-17.1), le ministre de la Culture et des Communications peut autoriser la constitution de ces centres régionaux lorsqu’ils poursuivent l’ensemble des objectifs suivants :
établir, maintenir et développer des collections de documents publiés, des services de traitement documentaire ainsi que tout autre service professionnel ou technique relatif au fonctionnement d’une bibliothèque publique;
conclure des contrats de services documentaires, professionnels ou techniques, relatifs au fonctionnement d’une bibliothèque publique;
favoriser la mise en commun des ressources, les échanges entre les bibliothèques publiques et la coopération avec toute bibliothèque ou tout organisme intéressé;
promouvoir toute autre activité liée au fonctionnement d’une bibliothèque publique;
encourager et soutenir des programmes de formation, d’information, d’animation et de développement culturel compatibles avec les objectifs mentionnés aux éléments 1 à 4.
Le programme Aide au fonctionnement vise à appuyer, dans l’accomplissement de leur mission et la réalisation de leur plan d’action, les organismes :
dont les activités s’inscrivent dans l’un des secteurs d’intervention relevant de la responsabilité du Ministère;
dont la mission et le plan d’action contribuent de façon significative et durable à l’atteinte des objectifs du Ministère pour le secteur et le territoire d’intervention visés;
dont la bonne gestion et l’efficience permettent de garantir la qualité des services qu’ils offrent à la population ou à leurs pairs;
qui ont établi des partenariats dans leur secteur ou sur leur territoire d’intervention, et qui bénéficient de l’appui de la collectivité auprès de laquelle ils travaillent.
Les centres régionaux de services aux bibliothèques publiques offrent des services professionnels aux bibliothèques publiques situées dans les municipalités les moins populeuses du Québec, soit celles de moins de 5000 habitants, afin que les citoyennes et citoyens qui les fréquentent puissent bénéficier de services de qualité.
Ces bibliothèques, souvent localisées en zone rurale, n’ont généralement pas les ressources humaines ni financières suffisantes pour assumer, de manière indépendante, tous les défis que présente la gestion d’une bibliothèque municipale. Pour les aider à jouer pleinement leur rôle au dans leur communauté, les centres régionaux ont le mandat de soutenir ces bibliothèques, selon l’article 18 de la Loi sur le ministère de la Culture et des Communications.
Afin d’appuyer les centres régionaux dans la réalisation de leur mission et de leur plan d’action, le Ministère met à leur disposition le présent programme Aide au fonctionnement pour les centres régionaux de services aux bibliothèques publiques. Ce faisant, il contribue à améliorer, partout sur le territoire, l’accessibilité à des services de bibliothèques publiques de qualité.
L’aide financière offerte comporte :
une aide pour la mission de l’organisme;
une aide pour l’acquisition de ressources documentaires
(consultez les Précisions sur les documents admissibles au programme).
Le programme Aide au fonctionnement a pour objectifs, dans le cas présent, de permettre aux centres régionaux de services aux bibliothèques publiques :
le maintien ou l’amélioration de la qualité des services offerts aux bibliothèques affiliées en visant un niveau similaire sur l’ensemble du territoire québécois, plus spécifiquement les services concernant :
l’acquisition de ressources documentaires aux fins des collections régionales et l’actualisation de ces collections,
la circulation et l’accessibilité des collections régionales de livres imprimés dans les bibliothèques affiliées du territoire desservi,
le soutien offert aux équipes des bibliothèques affiliées, notamment en matière de formation pour les animations et d’outils d’animation,
le suivi des besoins des bibliothèques affiliées et la planification des services offerts à celles-ci, notamment en matière de numérique;
la poursuite des efforts déployés afin de maintenir ou d’améliorer la desserte des municipalités de moins de 5 000 habitants, incluant les communautés autochtones.
L’aide financière est uniquement destinée aux centres régionaux de services aux bibliothèques publiques.
N’est pas admissible au programme tout demandeur qui se trouve dans l’une des situations suivantes :
est un ministère ou un organisme budgétaire du gouvernement du Québec mentionné dans l’annexe 1 de la Loi sur l’administration financière (RLRQ, chapitre A-6.001);
est une personne désignée par l’Assemblée nationale, un ministère ou un organisme fédéral;
a, au cours des 2 années précédant la demande d’aide financière, fait défaut de respecter ses obligations après avoir été dûment mis en demeure en lien avec l’octroi d’une aide financière antérieure par le Ministère;
est en situation de faillite ou d’insolvabilité au sens de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (L.R.C. [1985], chapitre B-3);
est inscrit au Registre des entreprises non admissibles aux contrats publics.
Les coûts de la main-d’œuvre (avantages sociaux compris);
Les coûts de location d’équipement ou de locaux;
Les coûts associés au siège social de l’organisme;
Les coûts de télécommunications et d’Internet;
Les coûts d’achat de matériel ou d’équipement;
Les frais d’étude et d’expertise-conseil;
Les frais de sous-traitance;
Les frais de promotion;
Les frais de déplacement (lesquels doivent respecter les barèmes en vigueur au gouvernement du Québec);
Les frais d’administration;
Les coûts pour les documents admissibles comme il est précisé dans la section Précisions sur les documents admissibles au programme.
Les coûts pour les documents non admissibles au programme.
La demande d’aide financière est normalement produite en ligne, sur un formulaire accessible dans di@pason et automatiquement acheminée à la direction du Ministère responsable de son traitement. Elle peut aussi, sur demande, être soumise sur un formulaire en version papier, lequel doit être transmis à la direction concernée du Ministère.
La demande d’aide financière doit être transmise aux dates déterminées par le Ministère. Pour connaître ces dates, consultez le calendrier des programmes.
Le demandeur doit présenter, dans le formulaire d’aide financière ou les documents joints, les renseignements suivants:
son plan d’action annuel ou pluriannuel, selon le cas;
sa planification financière annuelle ou pluriannuelle, selon le cas, en vue de l’accomplissement de sa mission, de la réalisation de son plan d’action et de l’acquisition de collections documentaires;
la liste des membres de son conseil d’administration, leur rôle et leur municipalité de résidence;
une description de sa structure organisationnelle;
le nombre de ses employés et leur catégorie d’emploi (personnel de direction, de gestion, professionnel, technique et de soutien);
le nombre de bénévoles contribuant à ses activités et le nombre d’heures que leur travail représente (le cas échéant);
son rapport d’activité le plus récent;
sa politique de développement des collections documentaires, entrant en vigueur au plus tard le 31 mars de l’exercice financier courant;
ses états financiers les plus récents, dûment adoptés par une résolution du conseil d’administration;
la résolution adoptée par ses autorités compétentes sur la demande d’aide financière et le mandataire;
toute information pertinente permettant d’appuyer sa demande.
Au cours de l’analyse de sa demande, le demandeur devra fournir au Ministère les renseignements et les documents complémentaires que celui-ci lui réclamera.
Si le demandeur est en relation d’affaires avec une ou des sociétés apparentées (entreprise ou organisme contrôlé directement ou indirectement par les mêmes administrateurs que les siens), il doit :
en informer le Ministère en établissant l’identité de chacune d’entre elles par son nom légal et son numéro d’entreprise du Québec;
démontrer qu’il est l’unique bénéficiaire de ses surplus ainsi que des subventions qui lui sont attribuées et de tout autre apport externe;
fournir la preuve que ses transactions avec des sociétés apparentées :
sont documentées formellement par contrat ou entente écrite,
font l’objet d’une divulgation par voie de notes aux états financiers, conformément aux principes comptables généralement reconnus,
sont établies selon des conditions et à des coûts qui sont inférieurs ou au moins comparables à ceux qui auraient cours avec une tierce partie;
Pour être soumis à l’évaluation, le dossier doit être complet, compréhensible et fondé sur des données exactes. Sinon, il appartiendra au demandeur d’en corriger les lacunes dans le délai accordé par le Ministère.
L’évaluation de la demande est faite par les responsables sectoriels des directions régionales du Ministère et le coordonnateur du programme, lors de la période d’analyse des demandes, dont la durée minimale est de 6 semaines. Le Ministère peut recourir, au besoin, à de l’expertise externe.
Une demande d’aide au fonctionnement est évaluée d’après :
la pertinence et la qualité du plan d’action du demandeur en rapport avec les objectifs énoncés à l’article 18 de la Loi sur le ministère de la Culture et des Communications;
l’équilibre de la situation financière du demandeur et la diversification de ses sources de financement;
la gestion optimale de ses ressources et l’adéquation de sa structure organisationnelle;
l’interaction du demandeur avec son milieu et son secteur d’intervention.
Une demande soumise par un centre régional de services aux bibliothèques publiques est aussi évaluée d’après :
la nature et la qualité des services qu’il offre aux bibliothèques affiliées;
les activités prévues pour :
l’établissement et le maintien d’un réseau de bibliothèques sur son territoire de desserte;
le développement, la coopération et la concertation entre les bibliothèques sur son territoire de desserte;
l’appui professionnel ou technique pour l’organisation et la gestion des bibliothèques publiques sur son territoire de desserte;
l’acquisition de ressources documentaires;
les services offerts aux autres centres régionaux (le cas échéant).
De façon générale, la portion de l’aide financière accordée pour la mission ainsi que celle pour l’acquisition de ressources documentaires ont une portée triennale.
Tout engagement financier du gouvernement du Québec n’est valide que s’il existe, sur un crédit, un solde disponible suffisant pour imputer la dépense découlant de cet engagement, conformément aux dispositions de l’article 21 de la Loi sur l’administration financière. Le montant de l’aide accordée à chaque centre régional de services aux bibliothèques publiques pour sa mission ne peut pas dépasser 1 000 000 $ annuellement. Le total de l’aide accordée annuellement pour l’acquisition de ressources documentaires aux fins des collections régionales ne peut pas, quant à lui dépasser 3 000 000 $.
Le cumul des aides financières directes ou indirectes reçues des ministères, organismes et sociétés d’État des gouvernements du Québec et du Canada ainsi que des entités municipales ne doit pas dépasser 100 % des dépenses admissibles au programme. Aux fins des règles de cumul des aides financières publiques, le terme « entités municipales » réfère aux organismes municipaux compris à l’article 5 de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels (RLRQ, chapitre A-2.1).
Outre les clauses relatives au versement et à l’utilisation de l’aide, la convention d’aide financière que le bénéficiaire doit signer pour recevoir le versement de la subvention comporte :
Dans le cas d'une subvention au comptant, celle-ci est remise en 2 versements, dont le premier, en début d’année financière gouvernementale (après le 1er avril), représente un maximum de 80 % de l’aide financière accordée annuellement. Le second versement, conditionnel au dépôt de la reddition de comptes de la subvention reçue par le centre régional l’année précédente, au plus tard 3 mois après la fin de chacun de ses exercices financiers, et à l’approbation de celle-ci par le Ministère, représente la portion restante de l’aide accordée au comptant.
Dans le cas d’un financement en service de la dette pour l’acquisition de ressources documentaires, pour laquelle la participation financière du Ministère est versée au Regroupement des centres régionaux de services aux bibliothèques publiques du Québec, pour redistribution à ces derniers selon les modalités prévues au programme, elle s’échelonne sur une période de :
Le bénéficiaire doit réaliser le financement temporaire et à long terme du projet.
A) Aide pour la mission de l’organisme
- la population du territoire de desserte;
- le nombre de municipalités du territoire de desserte;
- le nombre de points de services du territoire de desserte;
- les enjeux liés à l’éloignement du territoire de desserte;
- les enjeux liés à la vitalité économique du territoire de desserte.
Les municipalités desservies correspondent aux municipalités de moins de 5 000 habitants situées sur le territoire de desserte du centre régional et disposant d’une bibliothèque publique affiliée et, dans certains cas, aux municipalités de plus de 5 000 habitants ou aux parties de municipalités qu’il peut desservir, conformément aux directives établies par le Ministère en fonction de ses objectifs de développement.
Le calcul de l’indice de vitalité économique des territoires a été réalisé par l’Institut de la statistique du Québec. La classification calculée pour 2018 est utilisée dans le cadre du programme.
Pour permettre le maintien ou l’amélioration de la qualité des services offerts par les centres régionaux aux bibliothèques affiliées, en visant un niveau similaire sur l’ensemble du territoire québécois, un montant, équivalent pour tous les centres régionaux, est offert pour leur permettre de suivre les besoins des bibliothèques affiliées et de planifier l’offre de services qui leur est destinée, notamment en matière de numérique.
Pour permettre le maintien ou l’amélioration de la qualité des services offerts par les centres régionaux aux bibliothèques affiliées, en visant un niveau similaire sur l’ensemble du territoire québécois, un montant est établi selon la performance des centres régionaux. L’enveloppe réservée à ce paramètre est divisée en parts égales entre les indicateurs ci-dessous et entre le nombre de centres régionaux atteignant les cibles de performance établies dans le cadre du programme :
- l’élagage des documents matériels;
- le rafraîchissement de la collection régionale de livres imprimés;
- l’échange de la collection régionale de livres imprimés;
- les employés affectés au soutien des équipes des bibliothèques affiliées;
- les outils d’animation offerts aux bibliothèques affiliées, incluant les expositions thématiques.
B) Aide pour l’acquisition de ressources documentaires
Pour permettre l’acquisition de ressources documentaires, un montant est établi selon les besoins financiers exprimés par les centres régionaux pour l’achat de livres, de publications en série et de documents audiovisuels sur tout support, ainsi que l’acquisition de bases de données) (consultez les Précisions sur les documents admissibles au programme).
Les achats de livres imprimés doivent être réalisés dans le respect de la Loi sur le développement des entreprises québécoises dans le domaine du livre (RLRQ, chapitre D-8.1). L’acquisition des livres numériques et audionumériques, quant à elle, doit s’effectuer à prix régulier dans au moins 3 librairies agréées de la région administrative du centre régional, lorsque l’offre recherchée y est disponible. Pour ce faire, l’abonnement à la plateforme Pretnumerique.ca est obligatoire.
Une somme de 256 300 $ est allouée au centre régional du Centre-du-Québec, de Lanaudière et de la Mauricie pour la gestion des Services techniques coopératifs au bénéfice des centres régionaux.
Le tableau suivant rend compte des paramètres de financement qui s’appliquent aux centres régionaux.
Centres régionaux de services aux bibliothèques publiques | |
---|---|
Aide pour la mission (A) | 40 % à 90 % |
Aide pour l’acquisition de collections documentaires (B) | 10 % à 60 % |
Subvention totale | 100 % |
Chaque centre régional de services aux bibliothèques publiques subventionné doit produire une reddition de comptes annuelle conforme aux dispositions de la convention d’aide financière. Cette reddition de comptes comprend obligatoirement :
Cette reddition de comptes est accompagnée des états financiers du centre régional. Ceux-ci doivent indiquer de façon détaillée la provenance et le montant de chaque subvention reçue de source publique (provinciale, fédérale, municipale, Conseil des arts et des lettres du Québec, Société de développement des entreprises culturelles, etc.) et satisfaire aux exigences suivantes :
Cette reddition de comptes annuelle doit aussi faire état de toute modification ou précision relative à l’information fournie par le centre régional dans sa demande d’aide financière pour les années couvertes par la convention d’aide financière, en ce qui concerne son programme d’activités et son budget.
À la fin de chaque année financière, le degré de réalisation des attentes est évalué et l’organisme subventionné est tenu de présenter, pour l’année suivante, des prévisions budgétaires détaillées, adoptées par son conseil d’administration. Le tableau Indicateurs de mesure du programme détaille les éléments qui feront l’objet d’un suivi de la part du Ministère dans le cadre de la reddition de comptes annuelle du centre régional.
La réalisation du bilan des résultats du programme est prévue pour octobre 2023, conformément à l’échéancier du plan ministériel d’évaluation. Le bilan des résultats sera transmis au Secrétariat du Conseil du trésor (Sous-secrétariat aux politiques budgétaires et aux programmes) suivant son approbation par le Ministère.
La norme prend fin le 31 mars 2024.
Les modalités du programme Aide au fonctionnement s’appliquent dès la date de son approbation par le Secrétariat du Conseil du trésor et se terminent à la date d’échéance des normes ou à l’épuisement des fonds, selon la première des éventualités.
Le Ministère se réserve le droit de résilier la présente convention pour l’un des motifs suivants :
Pour ce faire, le Ministère adresse un avis écrit de résiliation au bénéficiaire dans lequel le motif est énoncé. S’il s’agit d’un motif de résiliation prévu :
Le bénéficiaire a alors droit au remboursement des frais, des débours et des sommes représentant la valeur réelle des activités réalisées et visées par la convention jusqu'à la date de sa résiliation, sans autre compensation ni indemnité que ce soit. Si le bénéficiaire a obtenu une avance monétaire, il doit la restituer dans son entier.
Le bénéficiaire est par ailleurs responsable de tous les dommages subis par le Ministère du fait de la résiliation de la convention.
Le fait que le Ministère n’exerce pas son droit à la résiliation ne doit pas être interprété comme une renonciation à son exercice.
Le Ministère se réserve également le droit de résilier la convention sans qu'il soit nécessaire pour lui de motiver la résiliation. Pour ce faire, il doit adresser un avis écrit de résiliation au bénéficiaire. La résiliation prend effet de plein droit à la date de la réception de cet avis par le bénéficiaire et la clause, selon laquelle le bénéficiaire a alors droit au remboursement des frais, des débours et des sommes représentant la valeur réelle des activités réalisées et visées par la convention jusqu'à la date de sa résiliation, sans autre compensation ni indemnité que ce soit, s’applique alors. Celle-ci stipule également que si le bénéficiaire a obtenu une avance monétaire, il doit la restituer dans son entier.
Ensembles d’enregistrements descriptifs ou d’unités de contenu documentaire informatiques (données factuelles, textes, images et sons), dotés d’une interface commune et d’un logiciel pour récupérer ou exploiter les données. Une interface unique d’accès à un bouquet de revues ou de documents numériques, habituellement proposée par un éditeur ou un fournisseur, est également considérée comme une base de données.
Documents qui contiennent en majorité des sons et/ou des images et qui requièrent l’utilisation d’un équipement spécial pour être écoutés et/ou visionnés.
Livres lus à voix haute accessibles en format numérique pour écoute en ligne ou hors connexion.
Documents imprimés, non publiés en série, formés par l’assemblage de feuillets. Un livre peut contenir du matériel d’accompagnement tels que cédéroms, disquettes, diapositives, etc.
Documents numériques, sous licence ou non, qui peuvent être considérés comme équivalant à un livre imprimé (monographie). L’utilisation de livres numériques est souvent liée à un matériel précis et/ou à un logiciel de lecture ou de visionnage spécifique. Les livres numériques peuvent être prêtés aux usagers soit avec un matériel portable (lecteur de livre électronique), soit en chargeant le contenu sur le micro-ordinateur de l’usager pour une période limitée.
Documents publiés en parties successives, généralement classés par ordre numérique ou chronologique et conçus pour être publiés indéfiniment, quelle qu’en soit la périodicité. Cela comprend les journaux et les périodiques.
Objectif | Sous-objectif | Indicateur de mesure |
---|---|---|
Maintien ou amélioration de la qualité des services offerts aux bibliothèques affiliées en visant un niveau similaire sur l’ensemble du territoire québécois, plus spécifiquement ceux concernant : | L’acquisition de ressources documentaires aux fins des collections régionales et l’actualisation de ces collections |
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La circulation et l’accessibilité des collections régionales de livres imprimés dans les bibliothèques affiliées du territoire desservi |
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Le soutien offert aux équipes des bibliothèques affiliées, notamment en matière de formation pour les animations et d’outils d’animation |
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Le suivi des besoins des bibliothèques affiliées et la planification de l’évolution des services offerts à celles-ci, notamment en matière de numérique |
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Poursuite des efforts déployés afin de maintenir ou d’améliorer la desserte des municipalités de moins de 5 000 habitants, incluant les communautés autochtones | S.O. |
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1À l’exclusion des municipalités qui ne sont pas accessibles par voies terrestres.
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Date de mise à jour : 01 juin 2021