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Le Programme Aide au développement des infrastructures culturelles s’inscrit dans le cadre du Programme d’infrastructure Investir dans le Canada, mis sur pied par le gouvernement du Canada et pour lequel l’Entente bilatérale intégrée (EBI) a été conclue entre le gouvernement du Québec et le Canada le 6 juin 2018. Il permet d’accorder une aide financière pour la réalisation d’un projet d’infrastructure culturelle en vertu de l’EBI.
Le ministère de la Culture et des Communications du Québec est responsable de la mise en place du sous-volet Infrastructures culturelles du volet Soutien aux infrastructures communautaires, culturelles et récréatives de l’EBI.
Les objectifs du présent programme sont les suivants :
La décision définitive concernant l’admissibilité du demandeur, des infrastructures, des travaux et des interventions ainsi que l’approbation du projet revient au Canada, sur recommandation du Québec.
Est admissible au présent programme :
Le demandeur doit avoir respecté, le cas échéant, ses engagements envers le Ministère lors de l’octroi d’une précédente aide financière.
Pour être admissible au présent programme, un demandeur doit détenir, sur le bien immeuble visé par les travaux, l’un ou l’autre des éléments suivants :
Lorsque l’exploitation de l’infrastructure culturelle possédée par un demandeur est sous la responsabilité d’un organisme à but non lucratif, la demande doit être déposée par le demandeur et les conditions suivantes doivent être remplies pour assurer l’admissibilité :
Ne sont pas admissible au présent programme :
Pour être admissible, une infrastructure doit être :
L’infrastructure admissible au présent programme est définie comme un bien immeuble ayant une des vocations culturelles suivantes :
Les infrastructures non admissibles sont :
Les travaux de construction et de restauration doivent être exécutés, selon l’expertise requise, par un entrepreneur détenant une licence appropriée de la Régie du bâtiment du Québec, un artisan membre du Conseil des métiers d’art du Québec ou par un restaurateur professionnel (réfère à un employé du Centre de conservation du Québec (CCQ) ou à restaurateur professionnel en pratique privée accrédité par l’Association canadienne des restaurateurs professionnels).
Les travaux et interventions admissibles sont effectués sur une infrastructure admissible et doivent principalement viser l’atteinte des objectifs du présent programme.
Les travaux et interventions admissibles sont les suivants :
Pour soumettre une demande d’aide financière, le demandeur admissible doit :
Toute fausse déclaration, intentionnelle ou non, de la part du demandeur peut mettre fin à l’étude de sa demande.
La demande d’aide financière doit obligatoirement être accompagnée des documents suivants :
Le Ministère peut exiger tout autre document en complément de la demande d’aide financière, et ce, tout le long des diverses phases du projet, notamment pour répondre aux exigences du Canada.
L’évaluation des demandes est réalisée par le Ministère. Celui-ci peut recourir, au besoin, à de l’expertise externe pour les secteurs d’interventions qui le concernent. Ces avis sont formulés notamment par le Conseil des arts et lettres du Québec, la Société de développement des entreprises culturelles, le Conseil du patrimoine culturel du Québec, le Centre de conservation du Québec, Bibliothèque et Archives nationales du Québec ou le Secrétariat aux affaires autochtones.
Seules les demandes complètes, compréhensibles et fondées sur des données exactes sont évaluées.
Le projet soumis doit respecter les critères d’admissibilité suivants :
le demandeur doit être un organisme admissible (voir la section Admissibilité);
l’infrastructure doit être admissible (voir la section Admissibilité);
les travaux prévus doivent être admissibles (voir la section Admissibilité);
le demandeur doit soumettre à la satisfaction du Ministère l’ensemble des documents requis pour la présentation d’une demande (voir la section Demande d’aide financière et documents requis);
l’aide demandée et le cumul de l’aide gouvernemental doivent respecter les exigences prévues (voir la section Calcul de l’aide financière).
La sélection est un processus concurrentiel. L’admissibilité d’un demandeur ou d’une infrastructure n’accorde aucune garantie ni obligation de financement du projet. Le Ministère peut refuser une demande d’aide financière lorsqu’elle ne satisfait pas aux critères du présent programme ou lorsque l’enveloppe budgétaire disponible ne permet pas l’octroi d’une telle aide financière.
La demande admissible est évaluée selon les critères suivants :
La demande d’aide financière devra faire l’objet d’une recommandation basée sur l’analyse effectuée par le Ministère. La demande retenue aux fins d’aide financière doit finalement être approuvée par le Canada (certains projets, dits non délégués, devront faire l’objet d’une approbation par le Conseil du Trésor du Canada – voir annexe 2 pour plus d’information). La lettre d’annonce officielle signée par la ministre de la Culture et des Communications et, qui confirme le montant de l’aide financière maximale, est suivie de la signature d'une convention d’aide financière.
Pour un projet dont le total des coûts admissibles est estimé à 10 M$ ou plus, une évaluation des émissions de gaz à effet de serre et une évaluation de la résilience aux changements climatiques, conformément à la réglementation et aux méthodologies du Québec, doivent être soumises au Ministère sur demande et avant l’approbation finale du projet par le Canada. Les évaluations doivent être réalisées par un évaluateur qualifié indépendant.
Après la signature de la lettre d’annonce, et avant le début des appels d’offre liés aux activités de construction, le bénéficiaire doit transmettre au Ministère pour approbation, les documents suivants, et ce, dès qu’ils sont disponibles :
Après avoir effectué l’analyse des documents fournis par le demandeur, le Ministère peut exiger que certaines modifications soient apportées au projet, notamment concernant des aspects liés au bien-être et à la sécurité du public, à la standardisation, à l’accessibilité ainsi qu’à la protection de l’environnement.
À la suite de l’approbation du projet, le Canada communiquera avec le bénéficiaire dont le projet est assujetti à des obligations en matière d’évaluation environnementale ou de consultation autochtone (voir annexe 1 pour plus d’information). De plus, toute modification apportée au projet doit être autorisée par le Ministère et le Canada, particulièrement en lien avec les aspects suivants :
Si des modifications sont apportées au projet approuvé sans l’autorisation préalable du Québec et du Canada, ceux-ci pourraient refuser de verser leur contribution respective, entièrement ou en partie.
L’aide financière maximale accordée en vertu du présent programme comprend la contribution du Québec et celle du Canada. Le montant minimal de l’aide financière accordée par projet est de 100 000 $ et le maximal, de 20 M$, soit un maximum de 10 M$ provenant du Québec et un maximum de 10 M$ provenant du Canada.
Les taux de subvention maximaux sont les suivants :
TABLEAU 1 – TAUX DE SUBVENTION MAXIMAUX DES 2 GOUVERNEMENTS APPLIQUÉS AUX DÉPENSES ADMISSIBLES EN FONCTION DU TYPE DE CLIENTÈLE ET/OU DE PROJET
Clientèle et/ou projet | Taux maximal du Canada | Taux maximal du Québec |
Organismes municipaux | 35 % | 35 % |
Bénéficiaire final autochtone* | 40 % | 40 % |
Projet de requalification d’un bien classé en infrastructure culturelle | 40 % | 40 % |
*Les bénéficiaires autochtones peuvent être un gouvernement des Premières nations ou Inuits en vertu d’une loi fédérale ou provinciale qui comprend une structure de gouvernance, incluant le gouvernement d’une bande indienne.
Le projet soutenu dans le cadre du présent programme peut faire l’objet d’une autre aide financière provenant directement ou indirectement du gouvernement du Québec ou du gouvernement du Canada, mais elle ne doit pas faire en sorte de porter leur contribution respective au coût maximal admissible du projet au-delà des taux indiqués dans le tableau 1 (il est cependant possible de diversifier les sources de financement tant que le cumul des sources fédérales ou provinciales ne dépasse pas les taux de subvention maximaux applicables aux dépenses admissibles).
Le Ministère établit le coût maximal admissible en fonction de la superficie et du type d’infrastructure, et ce, à l’aide des paramètres indiqués dans le tableau ci-dessous :
TABLEAU 2 – PARAMÈTRES DE CALCUL DU COÛT MAXIMAL ADMISSIBLE EN FONCTION DE LA SUPERFICIE TOUCHÉE PAR DES INTERVENTIONS ADMISSIBLES*, PAR MÈTRE CARRÉ SELON LE TYPE D’INFRASTRUCTURE
Type d’infrastructure | Coût maximal par m2 pour des interventions admissibles |
Musée, lieu d’interprétation | 5 000 $ |
Salle de spectacles de moins de 650 sièges | 5 000 $ |
Salle de spectacles de 650 sièges et plus | 6 500 $ |
Bibliothèque, centre d’archive, centre de formation, de production ou de diffusion, centre d’exposition et autres infrastructures | 3 000 $ |
Immeuble patrimonial protégé en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel | Aucun coût maximal en fonction de la superficie ne s’applique aux interventions de restauration d’éléments patrimoniaux |
*Le coût maximum est :
a) modulé de façon à tenir compte du facteur d’éloignement applicable à certaines localités;
b) majoré de 3 % pour un projet visant une certification de bâtiment durable.
Si le total des dépenses admissibles est inférieur au coût maximal en fonction de la superficie présenté au tableau 2, ce total sera utilisé pour déterminer le coût maximal admissible du projet.
Pour être admissibles, les dépenses doivent :
Pour être admissibles, les coûts directs doivent avoir été engagés à compter de la date de signature inscrite sur la lettre d’annonce de l’aide financière. Les frais liés aux activités de construction et/ou de travaux préparatoires sur les lieux (exemple : le défrichage) sont admissibles uniquement après la réception de la confirmation par le Canada que les obligations applicables en matière de consultation autochtone et d’évaluation environnementale sont satisfaites* ainsi qu’à la suite de l’acceptation par le Ministère de l’ensemble des documents demandés (voir la section Autorisation du projet). À noter que si les activités de construction et/ou les travaux préparatoires sur les lieux débutent avant que le Canada ait confirmé que les obligations applicables aient été satisfaites, le Canada pourrait refuser de verser sa contribution au projet, entièrement ou en partie.
La décision définitive concernant l’admissibilité des coûts est, tributaire de l’approbation préalable du Canada.
Les coûts directs admissibles sont les suivants :
Les frais incidents sont admissibles à compter de la date de signature inscrite sur la lettre d’annonce de l’aide financière, à l’exception de ceux liés à la réalisation des évaluations environnementales (émissions de gaz à effet de serre et résilience aux changements climatiques), ainsi qu’aux activités de mobilisation et de consultation des Autochtones, qui peuvent être engagés préalablement (ces frais seront remboursés seulement si le projet est approuvé).
Sont admissibles les frais incidents suivants, liés :
Ne sont notamment pas admissibles :
Sous réserve de règles applicables dans un régime équivalent, le Guide de gestion des contrats s’applique à tous les contrats d’approvisionnement, de services techniques, de services professionnels, de travaux de construction conclus par un bénéficiaire ainsi que pour l’acquisition d’équipements (les règles sont applicables uniquement aux interventions du projet reconnues admissibles en vertu du présent programme).
Le mode traditionnel de réalisation de travaux est préconisé. Il consiste à compléter les plans et devis détaillés avant de procéder au lancement de l’appel d’offres public visant à confier les travaux à un seul entrepreneur. L’utilisation de tout autre mode de réalisation doit être justifiée et préalablement autorisé par le Ministère.
Un concours d’architecture doit être tenu pour les projets dont les coûts de construction, avant taxes, sont égaux ou excèdent 5 M$ (cette obligation pourra être relevée par le Ministère pour un projet situé sur le territoire du Plan Nord ou dans le cas d’un projet étant évalué par le Ministère comme représentant une quasi-totalité ou uniquement des interventions de maintien d’actifs ou de restauration, tel qu’il est défini par le Plan québécois d’infrastructure (PQI) de la Société québécoise des infrastructures). Le règlement et le programme du concours d’architecture doivent être approuvés par le Ministère.
Les projets financés doivent être achevés avant le 31 décembre 2026.
Tout projet financé fait l'objet d’une convention d’aide financière entre la ministre de la Culture et des Communications et le bénéficiaire. Cette convention établit, notamment, les obligations du bénéficiaire, les modalités de versement de l’aide financière et toute condition particulière tenant compte de la spécificité du bénéficiaire ou du projet.
Le bénéficiaire doit respecter les modalités de la convention, qui incluent les suivantes :
Le Ministère se réserve le droit d’exiger un gestionnaire de projet lorsque l’envergure ou la complexité du projet le justifie.
L’octroi d’une aide financière demeure conditionnel à la disponibilité des fonds.
Le bénéficiaire est tenu de soumettre au Ministère (par le biais de di@pason selon le gabarit fourni à cet effet) des rapports d’étapes bisannuels signés par son représentant dûment autorisé, avant le 1er mai et le 1er novembre de chaque année, et ce, à partir de l’approbation du projet jusqu’à sa réalisation complète (à l’exception des projets de collectivités dont la population est de moins de cinq mille habitants; dans un tel cas, un seul rapport d’étape doit être soumis au Ministère avant le 1er mai de chaque année).
La reddition de comptes finale doit être transmise au Ministère, au plus tard 3 mois après l’émission du certificat de fin des travaux ou le 31 mars 2027, selon la plus hâtive des 2 dates, conformément aux dispositions prévues à la convention d’aide financière, et en y incluant, notamment :
Le versement de l’aide financière est effectué lorsque tous les travaux sont complétés et que l’ensemble des factures est payée, Le bénéficiaire doit en faire la demande auprès du Ministère.
Le versement est effectué après que tous les éléments suivants ont été réalisés :
La part de l’aide financière du Québec est payable sous forme de remboursement en service de dette selon les périodes se situant entre :
3 et 5 ans pour un montant égal ou supérieur à 50 000 $ et inférieur à 300 000 $;
5 et 10 ans pour un montant égal ou supérieur à 300 000 $ et inférieur à 700 000 $;
10 et 20 ans pour un montant égal ou supérieur à 700 000 $.
Le bénéficiaire doit assurer le financement temporaire et à long terme du projet.
Le capital que le Ministère doit rembourser correspond au montant de l’aide financière calculé après la vérification des dépenses engagées.
Tout engagement financier du gouvernement n’est valide que s’il existe, sur un crédit, un solde disponible suffisant pour imputer la dépense découlant de cet engagement, conformément à l’article 21 de la Loi sur l’administration financière (RLRQ, chapitre A 6.001).
Le versement de l’aide financière est conditionnel à la transmission, par le bénéficiaire, de l’ensemble des données nécessaires à l’appréciation des résultats du présent programme, notamment des renseignements nécessaires à la mesure des indicateurs de résultats prévus. La convention d’aide financière précise les modalités à cet égard.
L’annonce publique d’un projet subventionné dans le cadre du présent programme est faite par le Québec et le Canada, en concertation avec le bénéficiaire.
La liste complète des exigences en matière de visibilité se trouve en annexe de la convention d’aide financière.
Un bilan doit être transmis au Secrétariat du Conseil du trésor (Sous-secrétariat aux politiques budgétaires et aux programmes), au plus tard le 31 octobre 2022.
Le présent programme entre en vigueur le 21 septembre 2020 et se termine le 31 mars 2023.
Dans le cadre du processus de demande de financement dans un programme faisant partie de l’Entente bilatérale intégrée, le demandeur est tenu de remplir un formulaire intelligent afin de déterminer si certaines exigences fédérales en matière d’évaluation environnementale pourraient s’appliquer à son projet (régimes d’évaluation environnementale dans le Nord, traités modernes, Loi canadienne sur l’évaluation environnementale [2012]).
Les renseignements fournis ainsi sont également utilisés par Infrastructure Canada afin de déterminer s’il existe une obligation de consulter les peuples autochtones. Le Canada, le Québec et les municipalités peuvent avoir l’obligation de les consulter et, le cas échéant, d’accommoder les peuples autochtones lorsqu’une activité pourrait avoir des répercussions négatives sur les droits existants, ancestraux ou issus de traités, établis ou exercés par ces peuples. Il est possible que cette obligation ait déjà été respectée par le demandeur grâce à l’engagement précoce des peuples autochtones.
Avant d’accorder du financement à un projet, le Canada détermine si ses obligations en matière de consultation sont respectées. Si l’obligation de consulter est décrétée, le Canada peut s’appuyer, lorsque cela est possible et pertinent de le faire, sur les renseignements déjà recueillis, le cas échéant, par le Québec ou le bénéficiaire final dans le cadre de la réalisation de leur processus impliquant la consultation des peuples autochtones. Compte tenu de la connaissance et de la participation du bénéficiaire final au projet, Infrastructure Canada peut s’informer auprès de ce dernier pour savoir s’il souhait collaborer à la partie du processus fédéral qui peut aller au-delà du processus demandé par le Québec. Il est important que tout demandeur reconnaisse qu’une obligation de consultation peut être nécessaire et qu’il planifie de manière adéquate ce travail (exemple : ressources, temps, etc.) dans le cadre de sa demande de financement. Le formulaire intelligent qui doit être rempli pour soumettre une demande d’aide financière a pour but de sensibiliser le bénéficiaire à ce sujet.
Les exigences en matière de consultation varient en fonction de la taille et de l’emplacement du projet en question ainsi que de l’ampleur et de la portée des effets négatifs potentiels du projet sur les droits ancestraux ou issus de traités des peuples autochtones. Dans le cas d’une demande approuvée, le gouvernement provincial fournira par écrit, le cas échéant, de plus amples détails sur les exigences particulières en matière de consultation, y compris de l’information sur les communautés où la consultation est obligatoire. Pendant toute la durée du projet, le demandeur doit s’assurer qu’il s’acquitte des exigences en matière d’obligation de consulter qui lui ont été données.
Il est à noter que les coûts directs liés aux activités de construction et/ou de travaux préparatoires sur les lieux ne sont pas admissibles tant que le bénéficiaire n’a pas reçu d’avis du Canada indiquant qu’il a satisfait aux exigences en matière d’évaluation environnementale et à l’obligation de consulter les peuples autochtones. Avant la réception de cet avis, aucune préparation du site, aucun enlèvement de végétation ni aucune construction ne peuvent avoir lieu.
Pour toute question sur le formulaire ou sur les obligations du Canada, il est possible de communiquer avec l’équipe dédiée d’Infrastructure Canada à l’adresse suivante : INFC.AboriginalConsultEnv-Consultautochtonesenv.INFC@canada.ca.
Un projet non délégué est celui qui, entre autres :
se trouve dans de la circonscription du ministre d’infrastructure Canada;
implique des biens du gouvernement fédéral;
requiert une exemption en vertu de la Politique sur les paiements de transfert, qui nécessite l’approbation du Conseil du Trésor du Canada;
exige une exception par rapport aux modalités de l’Entente bilatérale intégrée;
octroie en gré à gré un contrat pour des travaux de construction de plus de 25 000 $ ou l’acquisition de services professionnels d’architecture ou de génie de plus de 100 000 $;
nécessite l’approbation du Conseil du Trésor du Canada à la suite de la demande du ministre d’Infrastructure Canada.
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Date de mise à jour : 30 septembre 2020