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La ministre St-Pierre double le soutien au Conseil de presse du Québec

Québec, le 1er avril 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, annonce l’attribution d’une aide financière de 200 000 $ au Conseil de presse du Québec (CPQ), pour son fonctionnement.

« En se consacrant à la liberté de presse et au droit du public à une information complète, exacte et de qualité, le Conseil de presse du Québec représente un mécanisme de régulation essentiel au maintien de notre vie démocratique. L’effort financier additionnel consenti cette année constitue une reconnaissance renouvelée du rôle indispensable joué par le Conseil de presse du Québec dans le secteur de l’information », a déclaré Mme St-Pierre.

L’aide financière accordée par le Ministère permettra à l’organisme d’entreprendre la mise en oeuvre de son nouveau plan d’action triennal qui a pour principaux objectifs le développement de son expertise déontologique et éthique, l’amélioration de son efficacité en tant que tribunal d’honneur des médias, l’examen de sa relation avec le processus judiciaire et l’élargissement de son rayonnement déontologique et éthique. Rappelons que le Ministère soutient le CPQ depuis sa création en 1973 et qu’il bénéficie, depuis 2005-2006, d’une aide financière annuelle de 100 000 $.

Récemment, la ministre St-Pierre a rencontré M. John H. Gomery pour la première fois depuis son entrée en fonction à titre de nouveau président du CPQ. « Au cours de cet entretien, j’ai pu constater l’enthousiasme avec lequel il entreprend son mandat et sa ferme volonté d’accroître le rayonnement du Conseil de presse du Québec », a-t-elle ajouté. La contribution ministérielle accrue au financement du CPQ se veut donc une démonstration tangible de soutien aux efforts du nouveau président en ce sens.

Le Conseil de presse du Québec est un organisme privé à but non lucratif composé de journalistes et de représentants d’entreprises de presse et du grand public. Il reçoit et traite les plaintes de quiconque s’estime lésé par le traitement de l’information ou juge être victime ou témoin d’une atteinte à la liberté de la presse ou du droit du public à l’information. En tant que tribunal d’honneur, il peut faire des recommandations aux journalistes ou aux entreprises de presse qui enfreignent les règles déontologiques reconnues dans la profession.

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