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En visite à Paris, M^me Christine St-Pierre annonce l’engagement du Québec aux deux opérateurs de TV5

Paris, le 2 février 2009 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, M^me Christine St-Pierre, a annoncé l’engagement du gouvernement du Québec d’augmenter de près de 2,15 M$ (1 250 000 €) sa contribution à TV5 Monde et à TV5 Québec Canada dès cette année. Elle a fait cette annonce au cours d’un point de presse en sol parisien, en compagnie de la Directrice Générale de TV5 Monde, M^me Marie-Christine Saragosse.

Le Québec versera 1,5 M$ (900 000 €) de plus dans le cadre de sa participation à TV5 Monde. La plus grande partie de cette somme permettra de renforcer la contribution québécoise aux opérations de la chaîne, notamment au chapitre du sous-titrage.

Un montant supplémentaire de 400 000 $ (250 000 €) sera attribué à TV5 Québec Canada pour l’assister dans sa migration vers la haute définition et dans l’élaboration de contenus destinés aux nouveaux médias, en particulier Internet, ainsi qu’une somme supplémentaire de 240 000 $ (150 000 €) destinée à la libération de droits d’auteurs. Avec cette aide financière supplémentaire, la contribution totale du Québec à TV5 atteindra 7 M$ (4,4 M€) en 2009. L’ensemble de cette contribution permettra d’accroître la présence de la programmation québécoise sur l’ensemble des signaux.

« TV5 est l’une des réussites les plus marquantes de la Francophonie et une source de fierté pour tous ses partenaires. Les productions audiovisuelles du Québec profitent aussi de la vitrine internationale exceptionnelle qu’est TV5 Monde pour montrer tout leur génie et leur inventivité. Par ailleurs, TV5 Québec Canada permet d’offrir aux publics d’ici un éventail d’émissions originales en provenance de l’ensemble de la Francophonie. D’où l’importance de continuer à soutenir TV5 Monde et TV5 Québec Canada, qui doivent demeurer compétitifs pour survivre dans un environnement hautement concurrentiel », explique M^me St-Pierre.

Marie-Christine Saragosse, quant à elle, « se réjouit de cette avancée historique, une progression de plus de 40 % de la contribution québécoise dès la première année. »

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